samedi 29 août 2009

L'histoire des chapeaux des femmes

Les années 40 de temps de guerre ont vu une variété énorme de chapeaux qui convenaient à n'importe quelle forme de visage, coiffure ou préférence personnelle. Tout au long de la guerre et des deux côtés des créations atlantiques et raffinées a éclairé des modes de service mornes, provoquées par le rationnement. En fait les seuls articles non rationnés étaient des matériaux de chapeau. Les explosions des plumes, de voiler et des fleurs artificielles étaient populaires. Elles ont été doublées en France comme `piece de resistance' ou morceau de résistance de `' contre le métier nazi. Chapeau de la poupée de `', un chapeau très petit qui était perché sur très l'avant du front, modèles victoriens rétablis. Il y avait également une brève réapparition du capot, aussi bien que des turbans et des chapeaux de halo. Le dernier reposé sur le dos de la tête et encadré le visage et les coiffures élevées à la mode de pompadour.
Les années 40 et les années 50 d'après-guerre ont vu beaucoup de femmes choisir de ne pas porter des chapeaux de façon régulière. Pour préserver son marché, l'industrie d'articles de modes a commencé créer la variété et l'extravagance. D'une manière générale les chapeaux sont restés petits et près de la tête. Ils ont été maintenant espionnés comme accessoire essentiel pour accomplir l'ensemble. Alternativement, chapeaux de roue de chariot de `de crêpe de `' ou' s'est reposé à plat placé sur le tour rétablissant principal des modèles de siècle. Par les années 50 en retard le turban retourné à la mode. Pendant que les coiffures se développaient dans la taille au début des années 60, les modèles de chapeau ont dû s'adapter. Dans la mode il y avait les poufs minuscules du voile ou des blockhaus qui étaient perché sur le dos de la tête.
Pendant que des modes des milieux des années 60 étaient adaptées pour la jeunesse, qui a porté des chapeaux économiquement, headwear est devenu un accessoire du passé. Même l'église catholique a laissé tomber son code de robe, abandonnant les bâches principales exigées pour des femmes en 1967. Excepté l'usage de temps froid, le chapeau tout de mode sauf disparu dans les années 70. Le crédit va à l'influence de princesse Diana dans les années 80 qui ont rencontré un certain succès en apportant des chapeaux de nouveau dans le modèle. Des tentatives plus récentes de rapporter le chapeau ont porté sur la santé en réponse aux trous dans la couche d'ozone. Ceci a donné des raisons de penser aux chapeaux de nouveau. En réalité, son rôle comme accessoire nécessaire est long allé. Jusqu'à la prochaine fois !

lundi 24 août 2009

Coco Chanel

Coco Chanel (née Gabrielle Bonheur Chanel le 19 août 1883 à Saumur - 10 janvier 1971 à Paris) était une créatrice, modiste et une styliste célèbre pour ses créations de haute couture et de parfum. Elle est à l'origine de la maison de haute couture Chanel.

Née pauvre, elle n'eut de cesse que de masquer ses origines. Toute l'existence de cette reine de l'Allure oscille entre les éclats du succès, ses amours de haute volée et le bruit sourd de son destin solitaire. S'il fallait d'un mot résumer la vie de celle qui, entre intuitions et rébellions, aura été l' «ange exterminateur d'un style XIXe siècle» (Paul Morand), le terme serait double. Double, comme les fracas de la gloire qui entoureront cette reine de l'Allure et le bruit sourd de son destin d'amazone solitaire. Double, comme les deux C, symboles enlacés du succès de sa maison, fondée en 1914, qui aujourd'hui encore, vingt-sept ans après la disparition de la Grande Mademoiselle, authentifient sacs, parfums, foulards, boutons et autres essentiels accessoires de son sceau arc-bouté. Des initiales autrefois gravées dans le bois rugueux de la table de son arrièregrand-père, Joseph Chanel, cabaretier à Ponteils. Ce hameau cévenol au cœur d'une forêt de châtaigniers, berceau de sa famille paternelle paysanne mais sans terre, dont jamais elle ne prononcera le nom. Et pour cause.

S'acharnant tout au long de sa vie à forger sa légende pour «masquer ses origines» (Edmonde Charles-Roux), Gabrielle Chanel préfère ancrer son histoire sur les bords langoureux de la Loire, où elle est née le 19 août 1883, aux hospices de Saumur, ville célèbre pour son école de cavalerie. Enfant de l'amour, elle est la deuxième fille d'Albert Chanel, camelot («négociant», dira le Who's Who), et de Mlle Jeanne Devolle, couturière, Trois maternités plus tard, enfin mariée, à 33 ans, sa mère s'éteint. Epuisée. «On m'a tout arraché et je suis morte», confiera Chanel à son amie de la dernière heure, Claude Delay (Chanel solitaire, Gallimard), avec laquelle pendant dix ans elle partagera l'ultime version de sa vie. «J'ai connu ça à 12 ans», ajoute-t-elle, justifiant ainsi sa résistance aux coups du destin. Et son étrange passion pour la solitude, que ni sa célébrité ni ses amours de haute lignée ne parviendront à effacer.

Double, enfin, comme Coco, ce surnom aux accents conquérants dont elle dit qu'il lui vient de son père. Parti à jamais tenter sa chance en Amérique, pour tout héritage Albert lui laisse un nom, mademoiselle Chanel, et le statut d'orpheline. Ce mot qu'elle ne pourra jamais entendre sans être «glacée d'effroi».

A peine âgée de 15 ans, Gabrielle, en compagnie de Julia, sa sœur, est confiée aux religieuses du monastère d'Obazine, un orphelinat à quelques kilomètres de Brive. En chemisier blanc et jupe noire - source peut-être de «son paupérisme rageur [qui] se plaisait à dévaluer jusqu'aux pierres précieuses» (Paul Morand, dans L'Allure de Chanel, éd. Hermann) et de cette rigueur qui deviendra la quintessence du style Chanel - tout au long des jours sans fin elle apprend à ne compter que sur elle-même pour gagner les galons de sa liberté.

N'aspirant pas au noviciat, à 18 ans, Gabrielle est confiée aux dames chanoinesses de Moulins, qui lui apprennent le pointilleux métier de couseuse. Elle y retrouve sa tante Adrienne, dernière-née de ses grands-parents prolifiques. Elles ont le même âge et surtout la même ambition: s'en sortir. Habiles à manier le fil et l'aiguille, les voici bientôt placées en qualité de commises dans une maison spécialisée en trousseaux et layette. Dans cette ville de garnison où les jeunes gens de bonne famille viennent apprendre l'art de la guerre en aiguisant leurs armes de conquérants, leurs jolies silhouettes ne manquent pas d'être remarquées.
Très courtisée, Gabrielle, qui ne compte pas partager le sort anonyme des cousettes, est prête à prendre des risques. Même si la frontière est fragile entre sa volonté et le péril de passer pour une femme facile. En quête d'un avenir dont elle refuse qu'il se limite à broder sur des draps de coton fin le chiffre d'heureuses élues qui ont croisé l'amour officiel, le soir elle tente sa chance là où d'autres feront basculer à jamais leur destin. La voilà poseuse sur la scène d'un caf' conc' où elle fait ses premières apparitions, silencieuses.

Bientôt, elle ose pousser la chansonnette. Au beuglant de La Rotonde, face à ces officiers du 10e régiment de chasseurs à cheval venus chahuter la gommeuse à la voix aussi frêle que sa taille, «tout engagée dans la guerre de plaire» (Edmonde Charles-Roux). Gracieuse, avec sa lourde chevelure sombre comme son regard, ses seins sveltes qui marqueront son style et ses jambes maigres de garçon, elle devient bientôt la favorite de ces messieurs. Qui qu'a vu Coco dans l' Trocadéro? A peine entamé son air fétiche, elle recueille «un tonnerre de rigolade». En guise de bis, la cousette qui découvre l'enivrement du succès est rappelée à coups de «Coco!» joyeux ou graveleux. Qu'ils sont loin ses rêves de tendresse paternelle susurrée à l'heure du marchand de sable!
La découverte de la vie de château
La vérité sur les premières années de Chanel, c'est à Edmonde Charles-Roux qu'on la doit. Dans sa biographie, L'Irrégulière ou Mon itinéraire Chanel (Grasset), l'ancienne rédactrice en chef de Vogue traque chaque détour de sa vie pour y retrouver cette vérité qu'en «femme fatale à elle-même» (François Nourissier) Chanel a désespérément cachée. Par crainte de perdre sa force?

Gabrielle, qui n'a pas le talent de Mistinguett, cette autre gommeuse ravageuse en robe de paillettes noires dont la réputation remonte jusqu'à Moulins, sera sauvée par Etienne Balsan de ce destin sans avenir autre qu'horizontal. Son premier homme, son amant peut-être, son ami pour toujours est un riche gentleman rider qui vient de rendre ses galons d'officier pour se consacrer à l'élevage et aux courses. Il lui fait découvrir la vie de son château, Royallieu. Pendant près d'un an, elle apprend les arcanes de la haute société. Vite. Mais elle s'ennuie et elle pleure. Elle a 18 ans et nulle part où se réfugier.

Alors elle s'échappe en jodhpurs de peau, ces culottes de lad qu'elle s'est fait copier par un petit tailleur du coin, pour humer tout à son aise l'atmosphère rassurante des écuries. Quand elle ne se fabrique pas des petits chapeaux singuliers - «si secs, si sévères» - qu'elle porte «très enfoncés» avec ses premières robes cousues main pour assister aux courses, ce rendez-vous où les demi-mondaines paradent sur la pelouse dans des tenues qui flattent les avantages, leur seule fortune. Avec son style d'écolière austère, on la remarque. Et on la juge. Celle qui rendra la mode «honnête» s'en moque. Froufrous et tralalas ne sont déjà pas son genre.

Galopant à cru dans la forêt de Compiègne, Coco trace à perdre haleine les chemins de son avenir. Même si la célèbre Emilienne d'Alençon règne encore sur le cœur d'Etienne Balsan. Peu lui importe, Gabrielle n'aime pas. Du moins, pas de cette irrésistible passion qui, deux ans plus tard, la fera suivre Arthur Capel, dit «Boy», jusque dans la capitale. Où il l'installera boulevard Malesherbes, dans la garçonnière de Balsan, son meilleur ami qui ne la regrette pas encore.

Boy est un anglais au teint mat et au passé mystérieux - on le dit fils naturel du banquier Pereire - dont elle sera l'inavouable compagne pendant neuf ans. Homme de cheval - il a une écurie de polo - et d'affaires - il a fait sa fortune dans les frets charbonniers - Capel aime cette rebelle qui se révèle plus «fauve» que «moineau abandonné». Mais c'est une jeune veuve anglaise sans autre intérêt que d'être fille de baron qu'il épouse. Un mauvais virage sur une route du Midi à la veille de Noël 1919, alors qu'il rejoint sa régulière qui attend un second enfant de lui, et Boy sort de la vie au volant d'une automobile trop rapide. «Je perdais tout en perdant Capel», dira Chanel cinquante ans plus tard. Tout et plus encore. Car c'est Boy qui prend au sérieux ses velléités de travail, dont Balsan pensait qu'elles n'étaient qu'une toquade. C'est lui qui finance l'ouverture de sa première boutique de modiste, Chanel Modes, au 21 de cette rue Cambon qui deviendra à jamais son fief. Repliée sur Deauville pour cause de guerre, c'est en 1914 que Coco, avec Capel à ses côtés, fera ses premières gammes de couturière en habillant les belles élégantes réfugiées dans leurs maisons normandes.

L'étoffe manquant, elle taille des robes de sport dans le jersey des sweaters de lad, ces tricots d'entraînement qu'elle a depuis longtemps adoptés. Libérant le corps, abandonnant la taille, Chanel annonce cette «silhouette neuve» qui lui vaudra sa réputation. Pour s'y conformer, les femmes s'efforcent d'être «maigres comme Coco», qui d'un coup de ciseaux libérateur devient la «première femme aux cheveux courts». Et se trouve bientôt à la tête d'un empire forgé à la force de ses poignets, qui ont la «fragilité de l'acier». Trois ans plus tard, mademoiselle Chanel, qui emploie plus de 300 ouvrières, rembourse enfin Boy, refusant à jamais le statut de femme entretenue.

Tout est en place pour un avenir qui s'annonce brillant mais, encore une fois, solitaire. Ne manque à Coco Chanel, en deuil de son amour, que d'avoir ses entrées dans le cercle étriqué des gens du monde, au contact desquels jamais elle ne perdra sa lucidité.

Celle qui l'introduira, c'est Misia Sert, cette belle Polonaise, «être rare qui ne saurait plaire qu'aux femmes et à quelques artistes» et que Satie surnommait «la mère Tue-Tout». «Parasite du cœur» (Paul Morand), la muse de Bonnard et de Vuillard, l'égérie de Diaghilev et de Stravinsky sera sa «seule amie» (et peut-être plus encore). Misia, dont Coco disait: «Le chagrin d'autrui l'attire comme certains parfums attirent l'abeille», avait senti son génie. Et, «avec son flair de revendeuse», elle lui ouvre les portes de la mondanité.

De 1920 à 1939, Chanel - elle a lancé Nº 5, son premier parfum - règne sur Paris. Six mois après la mort de Boy, à son retour d'un long voyage en Italie avec Misia et sa bande, elle s'installe au Ritz - des années plus tard, elle y retrouvera ses habitudes de femme blessée. Et elle reprend sa «vie de dictateur»: succès et solitude sont son lot quotidien. Coco ne pleure plus. Elle se perd dans le travail. Et elle invente. Le costume de sport, les faux bijoux qu'elle fait dessiner par François Hugo, le sac en bandoulière parce qu'elle se lasse d'égarer le sien, et les sandales à semelle de liège qu'elle s'est fabriquées pour marcher sur le sable brûlant de la plage du Lido, à Venise. D'un coup de ses ciseaux fétiches, qu'elle porte toujours autour du cou retenus par un bolduc blanc, elle démode les couturiers, «tue l'excentricité» et donne aux femmes l'allure de leur liberté.

Paris vibre du son nostalgique des violons tsiganes qui accompagnent les nuits blanches des Russes émigrés. Chanel rayonne et n'est plus totalement seule. Elle partage sa vie avec un homme, le grand-duc Dimitri, qu'elle a installé dans sa villa de Garches, où elle abrite déjà Stravinsky et sa famille. Ors, broderies et zibelines de Sibérie entrent dans ses ateliers, tandis que le cousin du tsar assassiné lui révèle les raffinements de palais et la misère des rois déchus. «Les princes de sang m'ont toujours fait immensément pitié, confiera-t-elle à Paul Morand. Leur métier, quand ils l'exercent, est le plus triste qui soit et, quand ils ne l'exercent pas, c'est pire.»

Car c'est un autre seigneur, le duc de Westminster, rencontré à Monte-Carlo, qui va entrer dans sa vie alors que son propre empire s'étend. Et que sa réputation n'est plus à faire. «Bend'or», du nom du fameux étalon de son père, possède une immense fortune, mais il est la «simplicité même». «Simple comme un clochard», dira Chanel, pour qui son amant devient le symbole absolu de l'élégance. La preuve? Il ne porte «jamais rien de neuf». Des landes d'Ecosse où le duc chasse les grouses au pont de ses yatchs, de l'Irlande aux Carpates en passant par Heaton Hall, son château, pendant six ans celui qui a trop de maisons pour toutes les connaître sera à ses côtés. Mais, c'est inscrit dans le destin de l'éternelle fiancée, Gabrielle Chanel ne deviendra pas anglaise. Benny est charmant, pourtant elle s'ennuie, «de cet ennui sordide de l'oisiveté et des riches». Elle exige qu'il se marie. Rideau. Lui restera ce goût des vestes de tweed usé qu'elle a chipé à «l'homme le plus riche d'Angleterre». Et quelques théories fracassantes sur l'argent.

«N'épousez jamais un homme qui a un porte-monnaie», conseillait, péremptoire, celle qui savait si bien de quoi elle parlait, jugeant à jamais les hommes sur leur façon de dépenser. Et qui a, sans doute, refusé de devenir duchesse, comme si elle voulait rester «de son propre fait, orgueilleusement, de celles qu'on n'épouse pas» (Nourissier).

Gabrielle Chanel, qui a rayé très tôt de sa vie ce qui lui restait de famille de sang au profit de celle du cœur, préfère les doutes des artistes, ses seuls vrais amis, aux fastes princiers: Cocteau, Picasso, Darius Milhaud, Serge Lifar, Diaghilev - dont elle paiera l'enterrement à Venise, en 1929, sans le dire - Stravinsky, dont elle finance sans le faire savoir Le Sacre du printemps, seront ses remparts contre les chimères de la mondanité. «Pour la première fois, Coco aime vraiment, affirme Misia Sert à Colette, dévoilant l'amour de son amie pour Pierre Reverdy. Fantasme ou parole d'intime? Le poète fut en effet le compagnon de l'ombre, l'amant sombre et difficile qui donne le goût des livres à celle qui cultive sa solitude.

Des années moins roses s'annoncent pour Chanel: une grève de ses ouvrières, les premiers congés payés et l'arrivée d'Elsa Schiaparelli. Cette couturière d'origine italienne, amie des surréalistes, a ouvert sa maison en 1934. Chanel vacille mais se bat pour récupérer sa couronne. L'actualité ne lui en laissera pas le temps. Ou peut-être a-t-elle senti l'urgence d'une retraite. En 1939, peu après la déclaration de guerre, elle licencie tout son personnel et ferme la rue Cambon. Retour au Ritz, où la reine s'enferme. Pas tout à fait seule. Elle a une longue liaison avec Hans Gunther von D.., un officier allemand qui aime les jolies femmes. Et la vie facile. Il ne facilitera pas celle de Chanel. A la Libération, elle est arrêtée. Puis relâchée quelques heures plus tard. Sur une intervention, dernier geste du fidèle duc de Westminster? Mystère. Omettre est un art dont Chanel connaît encore parfaitement le maniement.

Exilée en Suisse, rageuse mais fière, c'est d'un palace de Saint-Moritz qu'elle voit venir ce «new-look» qui donne aux femmes les poses minaudantes, souvenirs d'avant avant-guerre, contre lesquelles elle s'est tant rebellée. Tailles étranglées, jupes trop longues, Christian Dior, maître du jour, entrave à nouveau les femmes, allant à contre-courant des convictions de la Grande Mademoiselle. Il lui faudra quelques années encore pour se remettre de ce coup du destin sur son propre terrain.

En 1953, à 70 ans, Chanel prépare son retour et réintègre la rue Cambon. Après un premier essai - une collection ratée lui valant les salves de la presse qui l'a tant portée aux nues - défendu par le journal Elle (Hélène Lazareff en tête) et reconnu par les acheteurs américains, son style retrouve les faveurs des femmes. Ses vêtements, simples mais justes, sont l'uniforme préféré des femmes modernes, dont Jackie Kennedy, en novembre 1963, dans son tailleur rose taché de sang, sera le symbole fracassé. Copié, plagié, le «style Chanel» est plus qu'une mode, un phénomène. Mais 1968 l'attend au tournant de la révolution. Chanel, pour qui «les modes sont bonnes quand elles descendent» mais pas quand elles viennent de la rue, se défend et tente de rester hors d'atteinte, sûre de ses prérogatives: elle seule donne les mots d'ordre.

Plus maigre et mordante que jamais, plus injuste aussi, despote isolée entre ses paravents de coromandel et ses lustres aux éclats froids du cristal, elle se réfugie dans les rites des essayages et de ses exigences, entourée de ses courtisans et mannequins. Sans amour. «Furieuse et droite comme un capitaine sur le pont d'un vaisseau qui sombre», écrira Françoise Giroud dans L'Express. Cherchant dans les miroirs de l'escalier de sa maison de couture, où elle se cache les jours de défilé, à saisir les reflets de sa gloire qui jamais n'est parvenue à effacer les blessures de son désespoir intime. «Les vraies réussites sont fatales», disait celle qui est retournée vivre dans son appartement du Ritz. Et qui travaillera jusqu'au dernier soir de sa vie, le 10 janvier 1971. Un dimanche, ce jour consacré au repos et à la famille. Tout ce qu'elle déteste.
Source : perso.wanadoo.fr/.../oo.fr/petitsmots/chanel/chanel3.htm

vendredi 21 août 2009

Conclusion de votre modèle de mode

Les filles et les années de l'adolescence veulent regarder le dièse et le façonner en avant. Les tendances de mode changent chaque saison, mais il y a certains articles de base des vêtements de filles que chacun veut dans leur garde-robe. Des morceaux principaux peuvent être combinés pour créer beaucoup de différents regards. Tandis que les jeans de denim sont une agrafe dans la plupart des wardrobes, le modèle des jeans change régulièrement. Tandis que les bas jeans d'élévation avec les jambes droites ont pu avoir été populaires en 2007, dans une année ou ainsi une haute waisted le treillis avec les jambes larges peut être la mode. Tandis que chacun de l'adolescence peut choisir son propres modèle et pas soin au sujet de ce qui est populaire, les modèles dernier cri courants sont ce qui sera trouvé dans les magasins. Savoir ce qui est de mode, commencent à faire des emplettes à votre mail local préféré ou ont lu des revues de mode.

Les jeans sont de grand de base parce qu'ils peuvent être portés tant de manières. Pour la tenue de détente, ajouter un t-shirt, un chandail ou une chemise plate avec des espadrilles ou des chaussures plates. Les mêmes jeans peuvent également être habillés vers le haut de bien avec un chemisier de fantaisie ou une camisole avec une veste et des talons.

D'autres morceaux principaux de garde-robe sont des dessus, des cols roulés, des kakis, des shorts, des mous, des jupes, des sundresses et des blazers de réservoir. Les modèles et les couleurs de ces articles changeront également de la saison en la saison. Des longueurs de jupe sont en haut et en bas assorties, à une jupe courte et à un plus long modèle habituellement de mode en même temps.

La qualité des vêtements de filles fait moins de différence parce que les modèles changent tellement rapidement. Les filles fatigueront de leurs vêtements longtemps avant qu'elles portent dehors, ainsi sélectionnent ce que vous aimez cela adapte votre budget et ne s'inquiète pas de la longévité. Néanmoins, examiner l'étiquette pour assurer les instructions de blanchisserie. Il est plus facile et meilleur marché maintenir les vêtements lavables que sec nettoyer seulement.

Expérience pour trouver votre propre modèle

Une des choses les plus gentilles au sujet de l'habillement de l'adolescence (et d'être un adolescent en général) est la liberté à expérimenter. Même l'équipement le plus simple des jeans et d'un t-shirt peut être une expression de la personnalité du porteur. Les jeans viennent maintenant dans un choix de couleurs. Certains ont les rivets décoratifs, alors que d'autres montrent des conceptions brodées par fantaisie. Même la manière que les poches sont arrangées peut être un élément décoratif.

Un t-shirt peut être une couleur pleine plate avec un cou rond ou un v-cou. Il peut être barré ou modelé. Il peut montrer un message, pour ou contre une cause, montrant outre de son fabricant ou l'énonciation juste quelque chose qui amuse. Ainsi le t-shirt peut être un rapport de mode, un rapport personnel ou un rapport politique - vous choisissez.

Mais la plus grande partie de l'expérience de l'adolescence d'habillement vient par des accessoires. Ceux-ci peuvent être trouvés dans de grands magasins et l'habillement fait des emplettes comme dans les magasins de spécialités qui ne portent rien autrement. En choisissant des chaussures, l'ajustement et le confort peuvent être sacrifiés au modèle. Ceci peut ne pas être une bonne différence selon quelles activités vous projetez exercer tout en les portant. Être sûr d'essayer les deux chaussures car la plupart des personnes ont un pied qui est légèrement plus grand que l'autre.

Des chaussures peuvent être faites de cuir, cuir artificiel, tissu et d'autres matériaux. Les chaussures en cuir sont habituellement les plus chères, mais elles durent le plus long. Avant de faire un grand investissement dans des chaussures, penser à combien de temps vous croyez qu'elles conviendront à votre goût, modèle et garde-robe et à combien de temps vous pourriez vouloir continuer à les porter.

Le sac à main ou la bourse est un autre grand accessoire. Les gourous modernes de modèle n'ont besoin plus d'assortir votre bourse à vos chaussures, ainsi devenir comme fou. Obtenir un sac géant ou un mini-baluchon pour l'usage journalier ainsi vous pouvez porter toute votre substance. Sélectionner un sac minuscule et brillant pour cette nuit sur la ville. Tant que elle est assez grande pour vos clefs, rouge à lèvres, argent et cellphone, cela fonctionnera. Si vous projetez un jour actif, oublier le sac et aller pour une poche de ceinture. Plus juste pour des athlètes, ceux-ci viennent dans un choix de modèles et de couleurs comme d'autres bourses. Et quand vous êtes prêt à obtenir la fantaisie, se rappeler que vous pouvez ajouter des bijoux, gants, chapeaux, écharpes et plus pour personnaliser votre regard complètement.

Les années 60

Jusqu'à ce que les années 60 Paris aient été considérées comme le centre de la mode dans le monde entier. Cependant, entre 1960 et 1969 un bouleversement radical s'est produit dans la structure fondamentale de la mode. À partir des années 60 il n'y aurait jamais juste une tendance ou mode simple et régnante mais une grande pléthore de possibilités, indivisiblement liée à toutes diverses influences dans d'autres secteurs des vies des personnes. Les jeunes, avec une puissance et une culture qui était toute leurs propres, maintenant à un âge à parler dehors, étaient une force à compter avec et ont eu un impact puissant sur l'industrie de mode. Pour peut-être la première fois dans l'histoire il y avait une mode indépendante de la jeunesse, celle n'a pas été basé sur les conventions d'une catégorie d'âge supérieure. Dans le passé, le manque de suivre la mode a simplement signifié que vous étiez pauvre mais dans les années '60 elle est devenue juste comme beaucoup un rapport de la liberté personnelle.

Mûres de mères de leurs d'à de rigide de Dans le contraste et ultra-féminines, années 60 de DES de femme de La un adopté un modèle de fille et enfantin, courtes de jupes de les d'avec et courbes d'un DES de redressé, années 20 de DES de respect d'Au de réminiscentes. Devenues étaient de solidement de sont de mais de genou-hautes de jupes de les de début de la décennie d'Au plus des courtes et plus en 1965 d'émergé d'ait de La de que de la CE de jusqu'à de courtes mini-jupe. Le tiré avaient d'elles de Vers la fin de la décennie bien des bas d'Au-dessus du dessus de, collants aux. de transition rendant de La inévitable.

Plusieurs des changements radicaux de la mode se sont développés dans les rues de Londres, avec des concepteurs doués tels que la quantité de Mary (connue pour lancer la mini jupe) et Barbara Hulanicki (le fondateur de la boutique légendaire Biba). Paris, également, a eu sa part de nouveaux et révolutionnaires concepteurs, y compris Pierre Cardin (connu pour son visionnaire et habile-couper les conceptions), d'André Courrèges (connu pour ses équipements futuristes et pour lancer la mini jupe avec la quantité de Mary), de Yves Saint Laurent (connu pour son révolutionnaire pourtant modes élégantes), et d'Emanuel Ungaro (connu pour son usage imaginatif de couleur et des contrastes baroques audacieux). Aux Etats-Unis, Rudi Gernreich (connu pour son avant-garde et conceptions futuristes) et James Galanos (connu pour son luxueux lire-à-porter) atteignaient également une jeune assistance. Les sorties principales pour ces nouveaux jeunes couturiers étaient de petites boutiques, vendant les équipements qui n'étaient pas exactement des « one-offs », mais ont été faites en petite quantité dans une gamme limitée des tailles et des couleurs. Cependant, non tous les concepteurs ont bien pris au nouveaux modèle et humeur. En 1965, le Coco Chanel a monté une action d'arrière-garde contre l'exposition du genou et du Balenciaga résolument continués pour produire des conceptions féminines et de conservateur.

Forme de La et simples, ordonnés, filets, et jeune étaient bas de le modèle de du temps. Années pendants '60 de les de très de synthétiques de tissus de Les de couramment étaient d'employés. Le facilement de colorants de DES de pris d'Ils Ontario et bien, les claires de les de qui provoquant de couleurs et les lumineuses étaient, beaucoup l'humeur de la période reflétant. Déclin grand du souffert un des chapeaux Ontario de Les et seulement aux. de spéciales d'occasions de relégués d'été de la fin de la décennie ils Ontario de vers. Stylets aux. étaient de Les talons inférieurs de chaton un joli produit de remplacement. Le mené de l'aigus Ontario d'orteils de Les versent en 1961 de formés d'orteils de les de ciseler et en 1963 de d'amande d'orteil de l'à un. Les initialisations de Les plaque en 1965 de courtes de très de robes longues de les d'avec de populaires de devenues d'également de sont et jambe et ont atteint le genou de La de levées vers le haut de de sont de Se d'elles de suite de La de pair.

Deux notables et concepteurs influents dans les années 60 étaient Emilio Pucci et Paco Rabanne. Les vêtements de sport d'Emilio Pucci conçoivent et les copies inspirées par art op, psychedelia, et bannières heraldic médiévales lui ont gagné une réputation qui a prolongé lointain au delà des cercles de la société élevée. Ses robes lisses de décalage, tuniques, et beachwear, ont créé un « Puccimania » au lequel était toute la partie d'un mouvement libèrent la forme femelle et ses conceptions sont aujourd'hui synonymes avec les années 60. Francisco Rabaneda Cuervo (plus défunt Paco Rabanne) a ouvert sa première maison de couture en 1966 et, dès le début, a produit des conceptions résolument modernes. Plutôt que d'en utilisant les matériaux conventionnels de robe, il a créé des vêtements d'aluminium, de Rhodoid, et de morceaux de métal de chute. Sien conçoit, aussi bien qu'être expérimental, étaient également étroitement dans l'air avec quelles jeunes femmes aventureuses modernes ont voulu porter. Parmi ses innovations sont la robe sans couture faite, après beaucoup d'expérience, en pulvérisant le chlorure de vinyle dessus à un moule, et la robe jetable de bas-budget faite de papier et fil de nylon. Rabanne était également le premier couturier pour employer les modèles noirs, qui ont presque tout à fait eu comme conséquence son renvoi de Chambre Syndicale de la Couture Parisienne. Le succès de son appui aidé par Calandre de parfum que les secteurs moins profitables à lui fonctionnent, alors que son utopianism l'assurait une position unique dans le monde conservateur de la couture de haute.

Le changement principal des vêtements d'homme dans les années 60 était dans le poids du tissu utilisé. Le choix des matériaux et la méthode de fabrication ont produit un costume qui, parce qu'il était plus léger dans le poids, a allé voir totalement différent, avec une ligne qui était plus près de la forme normale du corps, faisant regarder des hommes leurs figures plus en critique. La diffusion des jeans a servi accélèrent un changement radical de la garde-robe masculine. Les jeunes hommes ont accru leurs cheveux vers le bas à leurs colliers et ont ajouté un contact de couleur, et même des motifs floraux, à leurs chemises. Le cou de polo n'a jamais réussi à remplacer la cravate, mais à l'adoption de la veste de l'ouvrier en velours côtelé rugueux, et particulièrement de la veste de Mao avérée être plus que simplement un rapport politique. Quelques rumblings futuristes ont été placés au loin par Pierre Cardin et André Courrèges, mais le costume de trois-morceau survivait toujours intact.

Au début des années 60 il y avait des « associations » influentes des célébrités et les concepteurs de haut-mode, le plus célèbre Audrey Hepburn et Givenchy, et Jackie Kennedy et Oleg Cassini. En outre, beaucoup de modèles ont eu un effet très profond sur la mode, la plupart des notamment Twiggy, le Veruschka, et la Jean Shrimpton. Tôt dans la décennie, les culottes étaient dans le modèle et le bikini a finalement hérité la mode en 1963. Le hippie et les mouvements psychédéliques tard dans la décennie ont également eu une influence forte sur des modèles d'habillement, y compris des jeans du cloche-fond, attacher-teignent et des tissus de batik, comme des copies de Paisley.

mardi 18 août 2009

jeudi 13 août 2009

La mode by Twiggy

Pour la saison été 2007, les designers ont puisé leur inspiration au c?ur des sixties. La mini robe du top des années 60, Twiggy devient le must have de la saison. Robe trapèze et univers Courrèges s'imposent comme référence.

Chez Gucci , la robe prend des couleurs pop et se revêt de matières nobles. Sonia Rykiel la revisite avec humour avec des dessins de visages. Chez Chloé, elle prend des allures de tapisserie avec les fameux imprimés papier peint kitsch de l'époque. Chez Chanel (photo de gauche), elle se veut plus sobre ? rayée ou unie - mais toujours très courte. Cet été, c'est certain, on montre ses gambettes.

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lundi 10 août 2009

Conclusion de votre modèle de mode

Les filles et les années de l'adolescence veulent regarder le dièse et le façonner en avant. Les tendances de mode changent chaque saison, mais il y a certains articles de base des vêtements de filles que chacun veut dans leur garde-robe. Des morceaux principaux peuvent être combinés pour créer beaucoup de différents regards. Tandis que les jeans de denim sont une agrafe dans la plupart des wardrobes, le modèle des jeans change régulièrement. Tandis que les bas jeans d'élévation avec les jambes droites ont pu avoir été populaires en 2007, dans une année ou ainsi une haute waisted le treillis avec les jambes larges peut être la mode. Tandis que chacun de l'adolescence peut choisir son propres modèle et pas soin au sujet de ce qui est populaire, les modèles dernier cri courants sont ce qui sera trouvé dans les magasins. Savoir ce qui est de mode, commencent à faire des emplettes à votre mail local préféré ou ont lu des revues de mode.

Les jeans sont de grand de base parce qu'ils peuvent être portés tant de manières. Pour la tenue de détente, ajouter un t-shirt, un chandail ou une chemise plate avec des espadrilles ou des chaussures plates. Les mêmes jeans peuvent également être habillés vers le haut de bien avec un chemisier de fantaisie ou une camisole avec une veste et des talons.

D'autres morceaux principaux de garde-robe sont des dessus, des cols roulés, des kakis, des shorts, des mous, des jupes, des sundresses et des blazers de réservoir. Les modèles et les couleurs de ces articles changeront également de la saison en la saison. Des longueurs de jupe sont en haut et en bas assorties, à une jupe courte et à un plus long modèle habituellement de mode en même temps.

La qualité des vêtements de filles fait moins de différence parce que les modèles changent tellement rapidement. Les filles fatigueront de leurs vêtements longtemps avant qu'elles portent dehors, ainsi sélectionnent ce que vous aimez cela adapte votre budget et ne s'inquiète pas de la longévité. Néanmoins, examiner l'étiquette pour assurer les instructions de blanchisserie. Il est plus facile et meilleur marché maintenir les vêtements lavables que sec nettoyer seulement.

Expérience pour trouver votre propre modèle

Une des choses les plus gentilles au sujet de l'habillement de l'adolescence (et d'être un adolescent en général) est la liberté à expérimenter. Même l'équipement le plus simple des jeans et d'un t-shirt peut être une expression de la personnalité du porteur. Les jeans viennent maintenant dans un choix de couleurs. Certains ont les rivets décoratifs, alors que d'autres montrent des conceptions brodées par fantaisie. Même la manière que les poches sont arrangées peut être un élément décoratif.

Un t-shirt peut être une couleur pleine plate avec un cou rond ou un v-cou. Il peut être barré ou modelé. Il peut montrer un message, pour ou contre une cause, montrant outre de son fabricant ou l'énonciation juste quelque chose qui amuse. Ainsi le t-shirt peut être un rapport de mode, un rapport personnel ou un rapport politique - vous choisissez.

Mais la plus grande partie de l'expérience de l'adolescence d'habillement vient par des accessoires. Ceux-ci peuvent être trouvés dans de grands magasins et l'habillement fait des emplettes comme dans les magasins de spécialités qui ne portent rien autrement. En choisissant des chaussures, l'ajustement et le confort peuvent être sacrifiés au modèle. Ceci peut ne pas être une bonne différence selon quelles activités vous projetez exercer tout en les portant. Être sûr d'essayer les deux chaussures car la plupart des personnes ont un pied qui est légèrement plus grand que l'autre.

Des chaussures peuvent être faites de cuir, cuir artificiel, tissu et d'autres matériaux. Les chaussures en cuir sont habituellement les plus chères, mais elles durent le plus long. Avant de faire un grand investissement dans des chaussures, penser à combien de temps vous croyez qu'elles conviendront à votre goût, modèle et garde-robe et à combien de temps vous pourriez vouloir continuer à les porter.

Le sac à main ou la bourse est un autre grand accessoire. Les gourous modernes de modèle n'ont besoin plus d'assortir votre bourse à vos chaussures, ainsi devenir comme fou. Obtenir un sac géant ou un mini-baluchon pour l'usage journalier ainsi vous pouvez porter toute votre substance. Sélectionner un sac minuscule et brillant pour cette nuit sur la ville. Tant que elle est assez grande pour vos clefs, rouge à lèvres, argent et cellphone, cela fonctionnera. Si vous projetez un jour actif, oublier le sac et aller pour une poche de ceinture. Plus juste pour des athlètes, ceux-ci viennent dans un choix de modèles et de couleurs comme d'autres bourses. Et quand vous êtes prêt à obtenir la fantaisie, se rappeler que vous pouvez ajouter des bijoux, gants, chapeaux, écharpes et plus pour personnaliser votre regard complètement.

Longue pousse modèle. 1968

Celui-ci comporte les modèles dans une pousse de photo pour souligner la mode du produit. L'utilisation des mannequins de présenter les soutiens-gorge sont plus prononcée. Dans 1969 on a permis à la la compagnie par les radiodiffuseurs canadiens de montrer les modèles de phase avec le soutien-gorge.

vendredi 7 août 2009

Mode des années 80.


Ceci est pris de DVD rétrospectif de William Klein dans et hors de la mode mais est à l'origine du documentaire 1986 d'en France de mode qui couvre beaucoup de mode des années 80.

jeudi 6 août 2009

Alberta Ferretti est un styliste italien et couturière

Alberta Ferretti est un styliste italien et couturière. Elle conçoit pour l'Alberta Ferreti et de la philosophie de l'Alberta Ferretti. Elle n'est pas fondée à Milan, en Italie, mais plutôt dans un petit village pittoresque en Italie .
Elle faisait partie d'un groupe de designers italiens, qui ont été invités à une réception de 200 designers et détaillants tenue par le Premier ministre Margaret Thatcher au 10 Downing Street, en octobre 1988.
En octobre 1993, Ferretti a présenté des vêtements rappellent The Great Gatsby pour le Milan prêt-à-porter spectacles. Un de ses dessins était une longue robe vichy et les boiseries, en bleu pâle. Un battants montré un style robe beige au crochet juste au-dessus du genou. Sa toge des restitutions à la production ont été diverses. Ils étaient de simples robes, certains d'entre eux à court, long et drapé d'autres.

Ferretti a prolongé son l'ampleur de sa compagnie en dehors de l'Italie en commençant par l'acquisition d'un bâtiment au 30 West 56th Street à New York. Elle a commencé Aeffe États-Unis, qui a produit et distribué par l'habillement Moschino, Rifat Ozbek, Jean Paul Gaultier, et Narcisco Rodriguez . Aeffe est détenue par Ferretti et son frère, Massimo. Le lieu est également devenu la plaque tournante pour la commercialisation de son Propres collections.

dimanche 2 août 2009

Dans les années 1950



VERNON dans les années 1950

La suite immédiate de sa carrière ne tiendra hélas pas ses promesses : si Vernon, grâce à sa maîtrise de l’Anglais et de l’Allemand, apporte son concours aux cinémas de plusieurs pays, il ne parvient pas à retrouver de rôle à la hauteur, se contentant de jouer les utilités. Sa diction, marquée par son accent suisse, et son physique inhabituel le cantonnent aux seconds rôles plus ou moins inquiétants.